46- Je vais Bien, T'en fais pas
Euh, rien à voir avec un éventuel mal-être, c'est juste que j'ai lu le livre mardi soir, fichtre, 150 pages, c'est rapide à descendre.
Je t'avoue que je n'ai pas beaucoup accroché au style de l'auteur, haché, simpliste, huuummm, on va dire moi qui essaye d'écrire un roman, autrement dit pas génial.
Mais, j'ai admiré la façon dont l'auteur apporte cette ambiance, oppressante, malsaine, on a envie d'ouvrir une fenêtre, de respirer de l'air pur de regarder un paysage ensoleillé plutôt que de rester dans cette noirceur.
Quant au contenu, à l'histoire, pour ceux qui n'ont pas vu le film comme moi, il s'agit d'une soeur dont le frère disparaît, elle était profondément attaché à son frère (genre cul et chemise), alors forcément, on est dans son mal-être, dans celui de ses parents qui, malgré tout, font tout ce qui est en leur pouvoir pour aider leur fille adorée à sortir le nez du fond du trou.
C'est beau cette amour filiale, c'est émouvant, même si étrangement, je n'ai pas eu la larme à l'oeil et le mouchoir détrempé à côté de moi, j'ai eu le coeur serré tout au long de l'histoire.
Quatrième de couv ' (Repris sur le site de l'éditeur Pocket):
« - Il y a une lettre pour toi, Claire.
C'est Loïc, elle crie, c'est Loïc. Il va bien. Il est en Bretagne. Il va bien. Il pense à moi. Il va bien. »