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La Pensine de Valentine
23 janvier 2006

Lignes de vie

Voici la lecture de la semaine dernière, j'avais investi dans ce livre sur un gros coup de tête, j'errais, tel un fantôme parmis les rayons de la FeNaQUE à la recherche d'un livre potentiellement intéressant qui n'était hélàs toujours pas sorti (ouinnnn... c'était quoi déjà ce livre ? M'en souviens plus, sûrement un manga) et comme d'habitude, ces errances finissent invariablement par me ramener au rayon fantasy. Là, je regarde la gondole, je suis attirée par l'image, je regarde vaguement la quatrième de couverture, je prend le livre frustré et fermement décidé à acheter un livre.

Conclusion, il fallait le lire, et je l'ai lu assez rapidement, remarque, il est assez court aussi. Pour illustrer "Lignes de vie" de Graham Joyce sur le blog, je suis allée sur le site de l'éditeur ( tu trouves le site là et à côté, c'est bragelonne), et là, le choc !!! L'auteur est un homme, pour une histoire qui ne tourne quasiment qu'autour de la gente féminine, je suis surprise, mais bon soit, je comprend mieux certaines tournures à présent.

Je suis paresseuse concernant le résumé, alors laissons l'éditeur se charger du boulot, voici :
Résumé : Coventry, durant la Seconde Guerre mondiale. Une famille de sept sœurs aux vies ordinaires… et extraordinaires. Des vies fondées sur la loyauté et la trahison, l’amour et la frustration, l’angoisse et l’espoir, dominées par la sagesse et les traditions d’une matriarche indomptable, truculente et terrible (euh, faut dire qu'elle est très gentille la vieille Martha tout de même, faut pas la voir comme un monstre). Des vies simples et émouvantes auxquelles se mêlent, presque imperceptiblement, l’étrange et le merveilleux.
Cassie, la plus jeune des sœurs, a eu un petit garçon d’un père inconnu et n’a pas eu le courage de le céder à des parents adoptifs. Comme elle est fantasque, imprévisible et sujette à des troubles mentaux, en bref « la dernière fille au monde à qui laisser la garde d’un enfant », la matriarche décide que le petit Frank sera élevé par chacune des sœurs, à tour de rôle. Ainsi l’enfant sera-t-il le témoin privilégié de ces vies aux lignes si différentes, dans les drames et les illusions de l’après-guerre.
Mais Frank est un enfant particulier, qui semble avoir des dons surnaturels; comme sa jeune mère, sensible à des signes invisibles; comme sa grand-mère, parfois visitée par des apparitions lui annonçant l’avenir…
Et au cœur de leur histoire, il y a eu la nuit du bombardement de Coventry par la Luftwaffe. La jeune Cassie s’est trouvée en plein cœur de cette nuit d’horreur hallucinatoire et y a laissé son secret le plus précieux…

Mon verdict, j'en sais rien, ni bon, ni mauvais, pas forcément à conseiller, ni le contraire, c'est une chroniques de vie, c'est un genre de fantasy différent de celui auxquel je suis habituée (j'ai d'ailleurs du mal à le classer dans la fantasy). Enfin voilà, maintenant tu sais, ou tu sais pas, c'est ta vie.

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Commentaires
Z
Alphonse Daudet a écrit pas mal de nouvelles (dans les Lettres de mon Moulin) ou se mêlent réalité et fantastique. Enfin, ça se rapproche peut-être plus des contes.<br /> Celle qui m'a le plus marqué est "L'homme à la cervelle d'or".<br /> <br /> Pour Maupassant, je pensais au Horla. Mais je crois que c'est plus le récit de la névrose d'un homme... :-\
V
Aurore ? Ca me dit quelques choses, mais j'suis pas sûre. Un truc que lirait plutôt ma mère genre Virginia C. Andrews.
L
Moi ca me fait penser a "Aurore" plus comme style<br /> Lutine
V
Avec les fantômes en plus :D
Z
Le résumé me rappelle des lectures de ma jeunesse comme Maupassant et Alphonse Daudet...
La Pensine de Valentine
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