Le Diable s'habille en Prada
Ben voilà, j'avais vu juste, j'ai terminé mon 22ème(?) bouquin de l'année. J'ai achevé vite fait Le Diable s'habille en Prada. Du coup, ayant vu le film, je peux m'amuser à faire une comparaison : Meryl Streep rend le personnage de Miranda beaucoup, beaucoup plus humain et touchant, par contre, dans le bouquin, il n'y a qu'à la fin que son humanité (?) apparait, et du coup, je suis navrée pour elle que ce seul moment de sympatie soit couronné par tant d'injustice. J'avoue avoir été passablement déçue par le personnage d'Andréa sur la fin. Heureusement que tout le reste est à la hauteur des espérances, même si on trouve quelques longueurs.
En fait, je crois que j'ai tout simplement préféré en cette rare occasion le film au bouquin. Alors que bizarrement, je m'étais dit que je préférerais sûrement plus le livre à la fin de la séance, comme quoi.
Présentation de l'éditeur : Andrea n'en revient pas : même avec ses fringues dépareillées, elle l'a décroché, ce job de rêve. La jeune femme de vingt-trois ans va enfin intégrer la rédaction de Runway, prestigieux magazine de mode new-yorkais ! Et devenir l'assistante personnelle de la rédactrice en chef, la papesse du bon goût, la dénommée Miranda Priestly. Une chance inouïe pour Andrea : des milliers d'autres filles se damneraient pour être à sa place ! Mais derrière les strass et les paillettes de cette usine à rêves se cache un enfer peuplé de talons aiguilles et de langues de vipère...