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La Pensine de Valentine
2 juin 2009

12 - Terminus Elicius

Ben voilà, petit week-end e Normandie, et lecture imprévue, il faut dire que ma môman a reçu des livres d'un voisin (c'est toujours mieux que de les jeter), en regardant la pile, je suis tombée sur Terminus Elicius, un polar sans prétention qui se lie très très rapidement (il semble également que je lise relativement vite...).

L'histoire commence sur Jeanne, et on devine très rapidement qu'elle n'a pas une vie très rose, et qu'elle souffre de TOC ("Il est fermé mon sac ? Oui il est bien fermé" - petite phrase récurrente). Lorsqu'elle découvre une lettre entre les sièges de SON train, au niveau de SA place qui lui est adressé, sa vie bascule peu-à-peu, car c'est le fameux meurtrier qui lui écrit ces lettres.
On suit le cheminement de Jeanne, entre interrogation, attirance (malsaine, il faut bien le dire), peur et désir face à cet effroyable criminel, d'autant que l'homme qu'elle aime en secret n'est autre que le capitaine de police chargé de l'enquête. Mais comment lui avouer la vérité lorsque l'on est morte de peur à l'idée d'être la prochaine victime, timide et renfermé au possible ?

En fait, il s'agit du roman de gare par excellence, on l'achète avant de prendre le train, il s'y lit très bien, et lorsque notre trajet est fini, on est heureux d'avoir pu passer un bon moment sans pour autant avoir raté sa station tellement le livre était passionnant.

Quatrième de couv ' (Repris sur le site de l'éditeur Pocket):
Istres-Marseille. Pour Jeanne, la vie est ponctuée par cet aller-retour ferroviaire quotidien entre son travail de gratte-papier au commissariat et la maison de sa mère. Elle attend néanmoins qu’un événement vienne secouer le fil de son existence : un regard, enfin, du capitaine Esposito ? La résolution, peut-être, de cette affaire de serial killer qui défraie la chronique phocéenne ?
«Vous êtes si belle, Jeanne. Si touchante et si belle.» Ce soir-là, une lettre, glissée entre deux banquettes, semble combler toutes ses espérances. Un peu trop, même. Car derrière le mystérieux soupirant se cache le meurtrier tant recherché par la police. Commence alors une correspondance amoureuse qui, pour Jeanne, n’aura de terminus qu’au bout de l’enfer…

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