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La Pensine de Valentine
2 février 2005

Barry trotter... vraiment une parodie éhontée

    Bon, maintenant que j'ai un frigo tout dégivré et vide ou presque (c'est pas le pot de mayo qui va me nourrir) mais propre, ce soir, corvée de crèpes. Ben c'est tout de même la chandeleur, d'accord c'est aujourd'hui et si je ramène des crèpes demain au bureau je vais en entendre, déjà qu'ils sont déçus de pas en avoir aujourd'hui.

    Ah ! Au passage, j'ai fini le voyage toujours de D. Gabaldon, toujours le cercle de pierre, nous voilà arrivés en Amérique. J'ai décidé de faire une pause dans le cercle et de m'attaquer à l'un de mes cadeaux de Noël (merci fiston), je commence la lecture de Barry Trotter une parodie de Harry Potter évidemment. Le début s'annonce assez mal, je ne souris même pas, je ne trouve pas les références particulièrement drôle. Mais je n'ai lu que le premier chapitre, ca va peut-être s'améliorer. Mais au moins, vous comprenez le titre de ce post.

Petite Histoire de Barry :
    En fait, Barry est un tir au flanc vivant dans l'école depuis près de onze profitant de sa célébrité dans le monde des sorciers pour ne pas travailler et sans cesse redoubler. Il accumule un nombre de conneries impressionantes pour le plus grand malheur de ses profs n'ayant pas une plus grande moralité que ce dernier. De plus, pour ce faire du fric, il a vendu son histoire à une écrivain (je vous laisse supposer de son nom parodié), et comme il a écoulé tout son fric, il a décidé de vendre la carte menant à l'école à un tabloïd de Glandu.
    Maintenant l'école est assiégé par une bande de lecteurs fanatiques glandus, dont l'hygiène et la moralité sont sérieusement mis en doute. Mais grave problème, la série de livre s'apprète à donner naissance à une série de film à gros budget, risquant ainsi de détruire l'école par l'assaut d'un nombre encore plus grand de fans. On s'éloigne donc énormément de l'histoire du livre, où Ron rebaptisé lon est un grand abruti avec un cerveau de rechange pris sur un chien et un trou dans la tête qui par jour de grand vent peut siffler.
    Pour le moment, on va dire que j'accorde le bénéfice du doute à cette oeuvre, mais je ne pense pas renouveller l'expérience avec les volumes suivant (qui sont déjà aux nombres de trois si je ne m'abuse).

    Même si c'est un cadeau qui me fait très plaisir, je vous en dirai plus quand j'aurai fini ce livre de 250-300 pages.

Bonne Journée.
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Commentaires
L
Ca, dès qu'il y a du fric à se faire, tu en vois toujours sortir du bois pour en profiter !
La Pensine de Valentine
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