Cest la Course
En écrivant le titre de ce post je viens de
réaliser que lorsque l'on parle des courses de Noël, on parle de
plusieurs formes de courses. Le côté « faire les achats » (cadeau et
repas de noël j'entends), mais il y a aussi le côté LA course, parce
qu'on court, on se presse, on stresse ! ! !
Bon, j'ai un caractère prévoyant, et en général
assez organisé, donc la plupart des cadeaux si ce n'est tous les
cadeaux sont achetés depuis longtemps
Mais pour le repas, il faut bien
retourner dans les commerces peu de temps avant le jour fatidique. Et
là ! Attention, accrochez-vous à votre panier.
Noël, fête d'amour, de joie, d'échanges, certes, mais sûrement pas les jours qui le précèdent. L'aspect commerciale de la chose, le désir de bien faire ou pire celui de surpasser le voisin, nous pousse dans la folie des achats, ce qui arrange sûrement notre économie nationale mais pas personnelle. Nous voilà presque saturés de décorations, de lumière clignotante et de publicités pour les jouets, on vous explique que le meilleur cadeau c'est çà (le plus cher de la bande évidemment) et surtout rien d'autre. Tout devient de plus en plus structuré, designé (même si ce mot n'existe pas), uniforme
J'adore Noël, j'aime faire des cadeaux, y penser et espérer qu'il fera plaisir aux destinataires et surtout les emballer moi même, décorer ma maison, faire le sapin, réfléchir et préparer le repas si j'invite. C'est un réel plaisir, du moment qu'il est en petit comité. Dès que je mets le nez dehors, je me sens agressée par cette débauche, c'est l'overdose, cette musique qui tourne en boucle toutes les cinq minutes, ce matraquage de bons sentiments, ces lumières et le stress quasi palpable, la foule. Je n'ai qu'une envie, rentré et me cacher sous la couette.
Encore une chose : J-2 avant le débarquement de la famille Formidable, et le repas de Noël (en avance), je suis folle de joie, surtout qu'il ne reste que les croissants à acheter
YYYYEEEESSSSSSS ! ! ! ! ! J'ai fini les achats ! ! ! ! ! ! ! !