Hommage au "dernier trappeur"
Et le plus fou dans l'histoire, c'est que je ne suis pas allée voir le film, mais depuis que mon collègue m'a prêté un DVD sur l'une de ses aventures, je suis devenue une fan, pas non plus incontionnelle, je ne peux pas te donner le nom de tous les chiens, l'ordre des aventures, et tout et tout. Mais j'avoue avoir passé tout mon dimanche, pendant que je construisais patiemment un rideau à la main (et ouais, j'ai pas de machine à coudre), à regarder les DVDs que je me suis offert au futuroscope.
A chaque fois, c'est une extra-ordinaire aventure humaine, bien au-delà des considérations écologiques, de la complexité technique ou bien encore du dépassement de l'homme. C'est surtout le lien entre LES hommes, et le lien animal-humain qui m'a fasciné, et bien sûr, on ne parlera pas des paysages traversés. J'avoue que je l'envie énormément d'avoir eu le courage mais aussi les capacités de pouvoir se lancer dans de telles aventures. Par contre, qu'on se le dise, je ne me vois pas non plus me ballader sur des milliers de kilomètres par -50°C.
Je suis d'un naturel bon publique et je verses facilement ma larme lorsqu'il y a un moment d'émotion à l'écran. Et là, ça n'a pas raté, lorsqu'il à terminer sa traversée (L'Odyssée Blanche) en moins de 100 Jours, je pleurais tellement c'était beau, puissant, enfin tout quoi.
Oh fait, je parlais de Nicolas Vanier.