Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
La Pensine de Valentine
18 janvier 2010

Invictus


Image reprise sur Allociné.

C'est le film polémique du moment: j'ai pu lire plusieurs articles lynchant Eastwwod ou encore Freeman. J'ai plus l'impression que les différents auteurs de ces articles ne les ont écris que pour se faire mousser. Alors, certes, la coupe du monde de rugby n'a pas apporté LE REMÈDE aux racismes et aux diverses tensions sud-africaine, mais il est regrettable de nier que cela a pu aider et constituer un premier pas dans le rapprochement des peuples.
Personnellement, j'ai adoré le film, j'y ai vu une hymne à la tolérance, celle-ci ne pouvant commencer que par une remise en question personnelle et par le pardon pour les actes passés. J'ai ri, j'ai été émue, j'ai été prise par l'action sportive (même si je connaissais le résultat final). Le film est soutenu par une superbe bande originale qui soutient l'émotion véhiculée pendant le film. Bref un pure plaisir.

Par contre, je me suis complètement plantée sur l'homme qui jouait Lomu, je savais que sa tête ne m'était pas inconnu, et j'ai confondu avec un acteur, alors qu'il s'agissait tout bêtement un rugbyman plutôt connu (joueur des All Blacks qui plus est).

Synopsis (repris sur Allociné):
En 1994, l'élection de Nelson Mandela consacre la fin de l'Apartheid, mais l'Afrique du Sud reste une nation profondément divisée sur le plan racial et économique. Pour unifier le pays et donner à chaque citoyen un motif de fierté, Mandela mise sur le sport, et fait cause commune avec le capitaine de la modeste équipe de rugby sud-africaine. Leur pari : se présenter au Championnat du Monde 1995...


Invictus (De William Ernest Henley):
Out of the night that covers me,
Black as the pit from pole to pole,
I thank whatever gods may be
For my unconquerable soul.

In the fell clutch of circumstance
I have not winced nor cried aloud.
Under the bludgeonings of chance
My head is bloody, but unbow'd.

Beyond this place of wrath and tears
Looms but the Horror of the shade,
And yet the menace of the years
Finds and shall find me unafraid.

It matters not how strait the gate,
How charged with punishments the scroll,
I am the master of my fate:
I am the captain of my soul.
Publicité
Publicité
Commentaires
V
@Ptinutz : Nous sommes faites pour nous entendre ma chère :)
P
Oh mais tu vas toujours voir les films que je veux voir... bon demain je vais voir avatar, peut-être que ce sera pour lundi prochain sauf si mon homme se décide à venir avec moi...<br /> <br /> Bref, il m'avait l'air très bien, tu me le confirmes, merci! J'adore le rugby!
La Pensine de Valentine
Publicité
Archives
Publicité